Chers amis d’AFAPE Auvergne-Rhône-Alpes,
J’avais souhaité en début d’année 2016 que notre région réussisse le congrès de Chambéry: Bien que nous ne soyons pas encore en mesure de donner les résultats du questionnaire d’évaluation, les nombreuses remarques spontanées permettent d’affirmer que ce fut le cas ! Et que ce soit encore une fois une occasion de remercier tous ceux qui y ont contribué.
Nous avons voulu tirer les enseignements du passé, nous avons voulu innover, nous avons souhaité inscrire ces évolutions dans la durée… Les deux premiers points dépendaient de nous, et ils ont été atteints. Pour ce qui est du troisième, l’avenir seul nous le dira…
Un avenir très particulier que celui de l’année 2017: Fait de bouleversements, c’est certain, avec les conséquences d’évènements passés souvent surprenants comme le brexit ou les élections américaines, la nouvelle donne géopolitique à nos portes (Syrie, Iran, Turquie…) et enfin nos élections présidentielles bien françaises, tellement françaises qu’on n’y parle pas d’Europe… Une année pleine d’incertitudes, même pour le couple franco-allemand: Certes, il y aura le départ du Tour de France à Düsseldorf, et vous ne manquerez pas d’en entendre parler, car cela fera le « buzz », mais est-ce-là ce qui peut renouer des liens qui n’ont pas cessé de se détricoter ? Vous m’avez compris: La réponse est bien entendu ailleurs, et des orientations existent, il en est même qui ont été données… dans notre congrès !
Mes voeux sont donc résolument engagés: Il nous faut une nouvelle dynamique, celle qui s’est exprimée par la bouche d’orateurs convaincants à Chambéry, mais aussi par la réponse spontanée ressentie en provenance des participants. Car c’était cela, le congrès de Chambéry: des paroles, certes, mais aussi un esprit… qu’il faut garder !
Que 2017 voie s’exprimer cette société civile dont l’expression est trop souvent orientée vers des questions secondaires car elle est influençable, qu’elle se mobilise pour imposer des choix d’avenir que nous souhaitons, plus que jamais, dans l’union et la diversité…
J. B.